dimanche 4 novembre 2007

La médisance est pire que la réalité

A vous de voir


Comment est-on arrivé à considérer Chance extrêmement dangereux pour ses filles.

A la sortie des enfants de l'hôpital en décembre 2006, une décision est prise en réunion au SAJ que les deux parents devront rencontrer chacun, une fois par semaine, une des 2 psychologues qui se sont occupés des petites à l'hôpital et cela à commencé en janvier 2007.

Notre couple va donc à l'hôpital et chacun a un rendez-vous séparé mais coup de théâtre, la psychologue du mari lui dit qu'il n'a plus besoin de venir, qu'il n'en a pas besoin au contraire de son épouse. Chance n'est pas d'accord, ne comprend pas et malgré son insistance à vouloir encore venir pour le bien des petites, rien ni fait. Seul son épouse continuera à venir.

Tout va basculer à partir de là, l'épouse va donc à ces rendez-vous et revient chaque fois agressive surtout envers Zoé en la menaçant de la faire placer. Et au 2/3 de janvier le papa craque et boit le reste d'une bouteille de fine et ivre s'endort comme un loir dans le divan. A son réveil Zoé est près de lui et Chance lui demande si elle a mangé ou non. La réponse sera négative, Maman est allée au lit avec Léa et a fermé la porte à clé. Malgré son état, il prépare à manger à Zoé, il est minuit.

Chance boit rarement, son dernier état d'ébriété date de 2002 à la fête organisée pour son mariage avec notre héroïne.

Celle-ci continue ses visites à l'hôpital et voit même sa famille en ville, c'est encore Chance qui a provoqué ce rapprochement, il ne sait pas encore ce que cela va coûter aux pettites et à lui-même. Car la famille adoptive s'engouffre dans la brèche ouverte. La décision de divorcer est prise mais Chance n'en sait rien, il l'apprendra fin février tout à fait par hasard.

Après maintes péripéties comme celle de Zoé qui menace de se rentrer un couteau dans le flanc, et cela un soir où maman revient d'avoir vu la psychologue et elle est, particulièrement, déchaînée en rentrant jusqu'à menacer Chance de le descendre.

Le papa est de plus en plus dépassé et il est décidé que les filles doivent être mises à l'abri par le SAJ et c'est encore le même frère adoptif qui aurait été choisi par le SAJ pour loger les filles, c'est ce que dit, ce monsieur, au papa mais en réalité le SAJ n'avait pas donner d'accord particulier à ce monsieur.

Le mercredi qui suit, une réunion a lieu au SAJ et il y est décidé avec l'accord de la maman que les filles doivent retourner au domicile conjugal tant que le maman n'a pas trouvé de logement fixe vu sa décision de divorcer. Malgré cette décision, le fameux frère ne rend pas les enfants au papa et sur les 3 jours qui suivent, les proches de notre hérïne ont trouvé un logement pour femme en détresse.

Le SAJ vu ces évènements reprovoquent une réunion en urgence et la maman déclare pour la première fois que le papa est dangereux pour les petites et qu'ils pourraient en abuser. Le papa est grogui et ainsi il ne verra les filles que le mercredi après-midi à son domicile. Ce qui est incohérent car il les voit sans aucune surveillance. Papa dangereux soit-disant mais il peut les voir sans aucune surveillance le mercredi après-midi. Quel incohérence........

Juin arrive et l'audience au tribunal pour attribuer la garde des enfants, la maman sous les ordres de sa famille a déménagér à 30 km du papa et cela empêche toute garde partagée. Les griefs contre le papa sont horribles, il serait souvent en état d'ivresse, il abuserait de médicaments et aurait des vues sur les petites. Un rapport des psychologues de SOS Famille vient seulement d'être réalisé par nos deux les psychologues . Ce document réalisé sans aucune demande d'aucune institution et surtout sa fin en forme de conclusion est accablant pour le papa mais n'est basé que sur les dires de la maman quand elle allait à l'hôpital seule toutes les semaines.

Malgré des attestations de personnes honnêtes, une prise de sang sans aucune trace d'alcool et même de médicaments pourtant Chance prend des calmants sur avis médical et on n'en trouve pas même la trace mais l'avocate de l'épouse a un droit parole non équitable et ainsi le conseil du papa n'a même pas su plaidoyer que quelques minutes. Mais coup de théâtre le juge a reçu du courrier du directeur et de l'assistante sociale de l'école des filles de Mater dei à Banneux où il est rappelé que les filles avaient été hospitalisées pour maltraitance de la maman.

Rien ni fait malgré que le juge estime la maman dangereuse pour les petites et il conclut que la garde sera pour la maman et que le papa jouira de ses droits paternels 2 X 2 heures par semaine en centre fermé.

Malgré le jugement, et débarrassée du joug familial en vacances, la maman se rapproche du papa en juillet et en août et laisse même les filles au papa pour loger et quelques fois, elle loge aussi au domicile du papa. Les parents se parlent, se rapprochent, la maman a des gestes affectueux avec le papa non partagé par Chance, il ne veut pas tomber dans l'incohérence. L'état conflictuel entre maman et Zoé s'atténue. Un jour, maman décide de réhabiliter Chance, elle téléphone à son avocate et lui dit qu'elle veut rétablir la vérité et qu'elle va lui envoyer un fax à ce sujet et demande d'être la seule interlocutrice, dans le futur, avec son conseil et lui demande aussi que son frère adoptif n'y soit plus convié.


Malheureusement fin août, la famille Dewaele est revenue de vacances mais surtout le frère, elle est prise de panique et en moins de deux semaines, ce frère adoptif reprend un ascendant sur sa soeur et la maman s'écarte du papa. Les enfants ne comprennent rien et leur souffrance s'accentue et malgré tout le papa garde son courage non pour lui mais bien pour Zoé et Léa.

Pourquoi tant d'acharnements envers un papa qui ne veut que l'essentiel :

Le bonheur des enfants


3 commentaires:

Unknown a dit…

Papa, je t'aime

Anonyme a dit…
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Anonyme a dit…
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